Retro Folon limited edition

Folon parc

 

YDRA lance un scooter électrique exclusif inspiré d’une œuvre de l’artiste Jean-Michel Folon, La Double vue, en collaboration avec la Fondation Folon.

 

Le célèbre personnage bleu orne l’YDRA Retro dans une édition limitée !

 
Le voyage est toujours plus important que la destination (Folon) 

La liberté et le voyage sont deux thèmes qui traversent l’œuvre de l’artiste bruxellois Jean-Michel Folon. Rouler en YDRA Retro, c’est aussi voyager et goûter à un sentiment de liberté, et plus encore lorsque le scooter est paré de subtils dégradés de couleurs bleues emblématiques de l’univers artistique de Folon.

 

Folon Villers 2


La source d’inspiration : La double vue

Le scooters Folon est habillé d’une œuvre de 1972 intitulée « La double vue ». Dans une structure métallique en forme de lunettes rondes, Folon insère deux sérigraphies dans un dégradé de bleus intenses. Son personnage s’y promène au milieu de vallons azurés. Ses traits se limitent à une paire de lunettes rouges, point focal. L’étrangeté est totale. L’aube pointe.

Souvent, Folon enfilait des lunettes. Il en amassait plein ses armoires, accumulant en une collectionnite aigue des rondes ou des carrées, des grosses ou effilées, allant de paires multiples d’ophtalmologue à celles, ô combien vénérées, de Giorgio Morandi, son peintre préféré. Les lunettes… La double vue, la clairvoyance de l’artiste. Des lunettes pour voir par-delà la réalité, 
là où le regard s’hallucine et pénètre de nouvelles sphères.

 

Double vue


Série limitée : 50 exemplaires seulement

Il s’agit d’un tirage exclusif en édition limitée à 50 exemplaires, réalisé en collaboration avec la Fondation Folon. Le prix de vente est fixé à 4.895 EUR (TVA incluse). Il peut être commandé auprès du concessionnaire YDRA local ou réservé (et livré à domicile) sur le présent site en l'absence de revendeur local.

 

Folon Villers

 


À propos de Jean-Michel Folon 

Jean-Michel Folon naît le 1er mars 1934 à Bruxelles. Peu porté sur les études, dessinant à longueur de temps, Folon se dirige vers des humanités en architecture (école Saint-Luc), puis s’inscrit à La Cambre en 1954, en section de design industriel. Quelques mois plus tard, en 1955, il part en autostop pour la France. Il s’installe non loin de Paris, à Bougival. Durant cinq ans, il dessine sans relâche et travaille comme dessinateur de presse pour des magazines belges (Pan, Moustique) ou français.
En 1960, Folon envoie, comme une bouteille à la mer, quelques dessins à des revues new-yorkaises, dont certaines – Horizon, Esquire, The New Yorker, etc. – montrent rapidement un grand enthousiasme et les publient. C’est le début du succès. Bientôt galeries et musées du monde entier l’accueillent à bras ouverts —New York, Chicago, Milan, Venise, São Paulo, Buenos Aires, Barcelone, Tokyo. Dessins, gravures, peintures, sculptures : son art s’épanouit dans la diversité. Il illustre des écrivains majeurs, dont Kafka, H. G. Wells, Prévert, Vian, Borges, Bradbury… Il réalise des œuvres murales monumentales, des vitraux, des tapisseries, des décors de théâtre et d’opéra, des sculptures.
En 2000, il inaugure à La Hulpe, dans le Domaine régional Solvay, la Fondation Folon (www.fondationfolon.be), qui présente l’essentiel de son œuvre dans un lieu et un paysage symboliques de son enfance. Il meurt le 20 octobre 2005, à l’âge de 71 ans.

© Fondation Folon, ADAGP, 2021 - © Tanali Photography

 

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